- L’interprète n’a pas de contexte et peu, voire pas de préparation en amont.
- En cas d**'incident technique**, les interlocuteurs risquent de devoir patienter de nouveau à cause de la file d'attente et qu'il est fort probable que l’utilisateur sourd tombe sur un nouvel interprète.
- Il y a une trace écrite contrairement à la volatilité de l’oral et dans une interview une grande importance est donnée aux mots choisis. L’interprète n’a pas le temps et la possibilité de faire une relecture et donc de revenir sur ses choix interprétatifs et reformuler si besoin.
- Il existe une grande différence entre un écrit public et privé. Et le rendu public, s’il ne convient pas à l’interviewé, mettra cela sur le compte de l’interprétation alors que ce n’est pas forcément la faute de l’ILS si le rendu n’est pas fidèle.
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❌ Ce type d'échanges téléphoniques n’est pas possible à interpréter dans le cadre du CRT, pour les motifs expliqués ci-dessus. La visio-interprétation n’est pas le bon format, il faut que cet échange s’effectue en présentiel.
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